Toutes les œuvres mentionnées ci-dessous sont temporairement entreposées afin de préparer l’exposition de la collection municipale.
L'exposition de cette collection se déroulera à la Maison Lachaîne du 27 septembre au 6 octobre.
Grâce à sa Politique d’acquisition d’œuvres d’art, la Ville dispose d’une collection municipale qui compte plus d’une quarantaine d’œuvres originales créées par des artistes de la région. Cette collection permet d’accroître le patrimoine de la municipalité et de contribuer au rayonnement des œuvres d’artistes locaux.
Œuvre remise à la Ville de Sainte-Thérèse par le Conseil de la culture des Laurentides à titre de prix Municipalité, dans le cadre des 23e Grands prix de la culture des Laurentides en 2012.
Sa recherche se situe dans l’exploration de créations symboliques. Le corps humain ou des silhouettes s’imposent dans ses réalisations pour soutenir des messages à caractère spirituel ou sacré. Marie-Claude Arnaud s’applique à intégrer plusieurs techniques de gravure et à superposer les images, tout en incluant le numérique.
Adjointe administrative et membre active du centre d’artistes autogéré l’Atelier de l’île, situé à Val-David, Marie-Claude Arnaud fait partie du milieu des arts imprimés depuis déjà quelques années. Elle compte à son actif plusieurs expositions collectives et solos.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2023 dans le cadre du programme d’acquisition de la collection municipale.
La nature est sa première source d’inspiration.
Elle est fascinée par les effets du vent sur l’eau, le givre et la végétation qui inscrivent leur trajectoire propre dans la matière. Elle est influencée par les conditions de plus en plus difficiles auxquelles est soumis l’environnement et par les bouleversements apportés par le réchauffement de la planète.
Elle privilégie la technique de gaufrage, ce qui lui permet de jouer avec des effets de tridimensionnalité. Le gaufrage laisse sa trace dans le blanc du papier et assure une continuité avec la thématique de l’œuvre. L’utilisation du papier fait main, comme le papier St-Gilles, influence de manière importante son processus de création.
Bachelière en Arts, Louise Bariteau détient un certificat en arts d’impressions et un certificat en arts et communications graphiques de l’Université du Québec à Montréal ainsi qu’une maîtrise en éducation de l’Université de Montréal.
Artiste graveur depuis plus de 30 ans, c’est à l’Atelier de l’Île de Val-David, qu’elle a perfectionné sa formation en estampe. Elle a participé à plusieurs expositions individuelles et collectives au pays : Québec, Colombie-Britannique, Ontario ainsi qu’à l’International : Japon, Belgique, Argentine, Cuba et Finlande. Ses gravures ont été sélectionnées à la Biennale de la Gravure « L’Art et le Papier » à Ottawa ainsi qu’à la Biennale de la Gravure à Sarcelles en France. Ses estampes peuvent être vues dans des collections publiques, Bibliothèques et Archives nationales du Québec, Bibliothèque Artothèque Gabrielle Roy du Québec et de la Collection permanente de Blainville.
Œuvre acquise par le Conseil de la culture et des communications dans le cadre des Grands prix de la culture. Décernée au Festival de cinéma international de Sainte-Thérèse, l’œuvre est devenue la propriété de la Ville de Sainte-Thérèse lors de la dissolution de l’organisme en 1999.
L’artiste cherche constamment à suivre les voies que lui propose le matériau tout en gardant le cap sur les valeurs les plus profondes qui l’inspirent : la nature, l’art et la famille. Elle tente d’exprimer la réalité qui se cache derrière la surface des choses et de saisir en images l’infinie complexité émouvante de la vie. Sa recherche s’est articulée autour de traces délicates et éminemment personnelles pour aller vers une dimension plus large avec les poètes du pays et d’ailleurs.
Jocelyne Aird-Bélanger est diplômée de l’Université de Montréal en pédagogie et en communications ainsi que de l’École des beaux-arts de Montréal en peinture et en dessin. Ses œuvres ont été vues dans une quinzaine d’expositions individuelles au Québec et en France ainsi que dans plus de 140 expositions collectives au Canada, aux États-Unis, au Mexique et au Portugal. L’artiste s’est initiée à la gravure en 1975 à l’Atelier de l’Île (Val-David), dont elle fut la coordonnatrice pendant plus de vingt ans. Membre honoraire de ce même atelier ainsi que du Conseil québécois de l’estampe, aujourd’hui connu sous le nom de Regroupement pour la promotion de l’art imprimé (ARPRIM), Jocelyne Aird-Bélanger vit et travaille dans les Laurentides.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2012 dans le cadre du programme d’acquisition de la collection municipale.
La symbolique fait partie intégrante de l’œuvre de Roland Benoit, qui est principalement autobiographique. Il a toutefois d’autres sources d’inspiration comme la psychologie, la spiritualité et le comportement de l’être humain dans la société contemporaine. L’artiste aime faire vivre une expérience qui favorise la réflexion ou une prise de conscience.
Par des œuvres abstraites, des plans rapprochés de visages ou la représentation du corps, il tente de révéler les mouvements intérieurs, les obstacles et les éléments qui contribuent au développement et à l’affirmation de l’identité personnelle. L’utilisation de techniques mixtes (acrylique, Gesso, fusain, pastel sec) permet de mieux représenter et d’exprimer toute la complexité de l’être.
Roland Benoit est originaire de New Liskeard, en Ontario. Il a étudié à l’Université de Montréal et s’est établi au Québec après avoir obtenu son baccalauréat en arts et lettres. Il a œuvré dans le domaine des communications, notamment à titre de rédacteur et d’illustrateur. Il a poursuivi sa formation en arts visuels (dessin, peinture et techniques mixtes). Il se consacre maintenant à son art et à l’enseignement.
Roland Benoit est membre professionnel du Regroupement des artistes en arts visuels (RAAV). Il a participé à plusieurs expositions collectives au Canada et à l’international (Corée du Sud et Croatie, 1999). Il a aussi réalisé des expositions individuelles. Ses œuvres ont remporté des prix et figurent parmi des collections publiques et privées.
Œuvre en consignation : il s’agit d’un prêt du comité culturel de Sainte-Thérèse. L’œuvre est devenue la propriété du comité à la suite d’une exposition de l’artiste à la Maison Lachaîne dans le cadre du Printemps des arts en 2000.
Gilles Boisvert s’intéresse à la vie quotidienne, sociale et politique ainsi qu’aux nouvelles technologies liées aux communications. Artiste très prolifique et avant-gardiste, il a d’abord touché à la gravure, à la lithographie, à la photographie, au dessin, à la peinture, au cinéma, à l’installation, à la sculpture, au multimédia et, enfin, à l’infographie. Remarquable tant par ses couleurs vives et contrastées que par sa facture abstraite, mais structurée, cette impression laser de Gilles Boisvert s’inscrit dans la démarche picturale qui caractérise sa production. Magicien du geste et de la couleur, le pinceau laisse ici sa place aux pixels.
Depuis 1963, Gilles Boisvert travaille à titre de peintre et de sculpteur professionnel. S’inspirant de la peinture gestuelle américaine et de l’automatisme québécois, ses abstractions avant-gardistes ont préfiguré le pop art québécois. Il a tenu une trentaine d’expositions solos au Canada et à l’étranger dans différents musées et diverses galeries. Il a aussi participé à de nombreuses expositions de groupe. Parallèlement, il a réalisé une dizaine d’œuvres monumentales dans des lieux publics du Québec et des États-Unis. Ses œuvres font partie de près d’une trentaine des plus grandes collections publiques au Canada.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse à la suite d’une exposition de l’artiste à la Maison Lachaîne en 2009.
À partir d’indices photographiques, Nancy Bourassa crée des espaces picturaux qui évoquent des formes topographiques et des repérages fictifs. L’artiste exploite une grande variété de techniques comme l’empâtement, le lavis, les traits à la scie et le collage afin de créer des images où la peinture établit un dialogue avec la photographie. Par le processus d’ajout et d’extraction de matière sur les surfaces, l’artiste renforce l’idée que la mémoire a la capacité de conserver, de récupérer et d’oublier différentes représentations.
Nancy Bourassa, jeune artiste des Laurentides, a obtenu son baccalauréat en arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec à Montréal et a complété sa formation à l’École supérieure des arts décoratifs de Strasbourg. Elle a exposé dans plusieurs galeries. Plus récemment, elle a réalisé une œuvre d’intégration des arts à l’architecture pour la Ville de Boisbriand. Cette jeune artiste a remporté plusieurs prix prestigieux.
Œuvre réalisée avec la participation du public lors de l’édition 2012 de la Rentrée au Village de la Ville de Sainte-Thérèse, elle fut acquise la même année.
Créateur, Charlem exploite l'acrylique, l'huile, l'aquarelle et les techniques mixtes. Le cosmos, le rêve, le corps humain et la biodiversité font partie des thématiques qu'il visite fréquemment. L'essentiel de son œuvre est consacré à la prise de conscience universelle, à la compréhension de l’énergie globale qui nous anime et à la recherche de connaissances sur les anciennes civilisations évoluées.
Grâce à son projet monumental Terre d’espoir exposé au musée de la Biosphère de Montréal en 2010, Charlem est reconnu comme un artiste polyvalent auprès des médias nationaux et de la communauté artistique. Depuis, il a présenté plusieurs expositions et murales à travers le Québec, ainsi qu'en Amérique latine. À la suite de sa formation en arts plastiques au Collège Lionel-Groulx de Sainte-Thérèse en 2000, Charlem demeure très impliqué dans le domaine artistique. Depuis, il continue de partager sa passion avec des milliers d'élèves lors d'ateliers et de conférences sur les arts dans le milieu scolaire.
Œuvre réalisée en 2015 en direct du lancement de la nouvelle politique culturelle de la Ville de Sainte-Thérèse, elle fut acquise la même année.
Créateur, Charlem exploite l'acrylique, l'huile, l'aquarelle et les techniques mixtes. Le cosmos, le rêve, le corps humain et la biodiversité font partie des thématiques qu'il visite fréquemment. L'essentiel de son œuvre est consacré à la prise de conscience universelle, à la compréhension de l’énergie globale qui nous anime et à la recherche de connaissances sur les anciennes civilisations évoluées.
Grâce à son projet monumental Terre d’espoir exposé au musée de la Biosphère de Montréal en 2010, Charlem est reconnu comme un artiste polyvalent auprès des médias nationaux et de la communauté artistique. Depuis, il a présenté plusieurs expositions et murales à travers le Québec, ainsi qu'en Amérique latine. À la suite de sa formation en arts plastiques au Collège Lionel-Groulx de Sainte-Thérèse en 2000, Charlem demeure très impliqué dans le domaine artistique. Depuis, il continue de partager sa passion avec des milliers d'élèves lors d'ateliers et de conférences sur les arts dans le milieu scolaire.
Œuvre acquise par le Conseil de la culture et des communications dans le cadre des Grands prix de la culture. Décernée au Festival de cinéma international de Sainte-Thérèse, l’œuvre est devenue la propriété de la Ville lors de la dissolution de l’organisme en 1999.
René Derouin a développé un art personnel empreint de ses multiples expériences. Il a exploré les thèmes du territoire, de l’identité, des migrations et du métissage. Il sait transcrire ses préoccupations d’homme moderne ainsi que les blessures intimes dans ses œuvres remarquables. Dès la fin des années 1950, il explore les techniques de l’estampe. La dualité nord-sud prend beaucoup d’ampleur dans ses œuvres.
Né à Montréal en 1936, René Derouin est un artiste international et un citoyen de Val-David. Il est récipiendaire de nombreuses reconnaissances, dont le prestigieux prix Paul-Émile Borduas qui lui a été remis en 1999 par le gouvernement du Québec. Après avoir suivi une formation de graphiste et de dessinateur publicitaire, il entreprend la traversée des États-Unis et du Mexique. Ce grand voyage constitue une étape déterminante de son évolution artistique.
Artiste multidisciplinaire, Derouin fonde les Éditions Formart en 1970. Il est aussi membre fondateur et directeur du Conseil québécois de l’estampe, aujourd’hui connu sous le nom d’ARPRIM. En 1995, il crée la Fondation René-Derouin. Cette dernière organise chaque année un symposium pour favoriser la rencontre d’artistes venant de différentes disciplines et des quatre coins des Amériques.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2022 dans le cadre du programme d’acquisition de la collection municipale.
Samuel Desjardins a effectué un parcours académique en psychologie (doctorat en neuropsychologie) qui l’a amené à comprendre l’humain d’une façon plus nuancée. Ses œuvres ont généralement pour but de représenter le phénomène humain, de par ses actions plutôt banales, de même que dans ses comportements plus anormaux. Voilà pourquoi les scènes représentées sont souvent marquées par une impression d'étrangeté, parfois subtile, parfois ferme. L'humain peut accomplir certains gestes très ordinaires que l’on retrouve dans différentes situations courantes de la vie quotidienne. Toutefois, il sait aussi surprendre par divers comportements déviants ou non désirés. Dans les deux cas, l’artiste s’appuie, dans ses compositions, sur le fait que cela peut rejoindre plusieurs personnes dans leur vécu ou dans leur univers fantasmatique. Son œuvre dépeint également des indices liés à notre époque et à notre culture québécoise, tant urbaine que rurale.
Samuel Desjardins a grandi et habite à Sainte-Thérèse. Il est détenteur d’un doctorat en psychologie sur la perception visuelle à l’UQAM, d’études postdoctorales sur la perception visuelle à Harvard et d’un baccalauréat en arts plastiques à l’Université Concordia. Il est professeur de psychologie au Collège Lionel-Groulx depuis 2008 et, en parallèle, il continue activement à peindre le phénomène humain.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2017 dans le cadre du programme d’acquisition de la collection municipale.
Ses principales recherches se penchent sur la relation du corps dans un espace et l’attachement à un territoire. Pour approfondir ses propres réflexions, elle mène des expériences artistiques où l’humain devient à la fois cobaye et acteur, pour ensuite créer des œuvres dans un esprit de tissage identitaire.
Sandra Djina Ravalia est une artiste multidisciplinaire titulaire d’un baccalauréat en Beaux-Arts, décerné avec les honneurs, de l’Université de Concordia à Montréal en 2001. Au fil de sa carrière, elle a participé à de nombreux projets artistiques au Québec et en Europe et a gagné plusieurs prix. Originaire de l’île de La Réunion, elle est installée au Québec depuis plus de 20 ans.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2017 dans le cadre du programme d’acquisition de la collection municipale.
Son travail s’articule autour de la commémoration, de l’évocation, du devoir de mémoire. Il s’attarde à des thèmes contemporains à travers sa vision de femme. Il s’agit, en utilisant des archétypes universels qui transcendent le temps et les particularités, de se remémorer une ou des personnes disparues au cœur de divers contextes de la vie. La disparition est un événement traumatique que chaque civilisation a cherché à ritualiser pour la conjurer et que la nôtre doit réinventer. Elle interroge l’invisible, le symbolique, le sacré, le rite, etc.
L’une des caractéristiques de son travail est qu’il évolue dans le temps avec la participation du public invité à figurer passagèrement dans l’œuvre, à y collaborer, ou encore à emporter une partie de celle-ci. Le tout nourrit son processus de création.
Suzanne FerlandL vit et travaille dans les Laurentides. Elle est titulaire d’un baccalauréat du programme d’arts plastiques création de l’Université du Québec à Montréal. Artiste multidisciplinaire, elle conjugue art action, art furtif, art relationnel avec la gravure, la sculpture et l’installation. Elle a participé depuis dix ans à plus d’une vingtaine d’expositions collectives et individuelles et ses œuvres se retrouvent au sein de plusieurs collections privées et publiques.
Elle recevait en 2008, 2009, 2014 et 2015 une bourse du Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ) pour Sentier Art3, un événement d'art public en nature qu'elle a initié en partenariat avec le Parc régional Bois de Belle-Rivière (Mirabel) et le Musée d'art contemporain des Laurentides (Saint-Jérôme). En 2014, elle reçoit une bourse de déplacement du CALQ pour une résidence de création à Lijiang, en Chine. En 2015, elle remporte la bourse du CALQ pour une résidence de trois mois dans le studio de Tapiola de la Fondation finlandaise à Espoo, Finlande. En 2017, une bourse de déplacement du CALQ lui permet une résidence à Lisbonne et une bourse du CALQ Laurentides lui est octroyée pour la production d'un livre-mémoire des 10 ans de Sentier Art3. En 2018, elle remporte le prix Excellence pour la qualité de ses œuvres et leur intégration poétique à l'environnement.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2017 dans le cadre du programme d’acquisition de la collection municipale et tirée de l’exposition Manger nomade; l’art de manger un peu partout, pour laquelle l’artiste a été récipiendaire du prix Excellence du Conseil de la culture des Laurentides en partenariat avec Télé-Québec en 2014.
Par la pratique de l’estampe, Marilyse Goulet porte un regard personnel sur les relations que les gens entretiennent avec la nourriture. Sa recherche artistique dresse un portrait visuel qui reflète les mœurs, les modes et les comportements d’une époque. Elle démontre que les rites et les idées culinaires sont un véritable reflet de la société, l’expression même d’une identité.
Marilyse Goulet vit et travaille dans les Laurentides. Elle est diplômée en arts visuels et en enseignement des arts plastiques de l’Université du Québec à Montréal. Active dans le milieu de l’art imprimé, elle est membre et vice-présidente de l’Atelier de l’Île, centre d’artiste autogéré spécialisé en estampe contemporaine situé à Val-David.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2017 dans le cadre du programme d’acquisition de la collection municipale et tirée de l’exposition Manger nomade; l’art de manger un peu partout, pour laquelle l’artiste a été récipiendaire du prix Excellence du Conseil de la culture des Laurentides en partenariat avec Télé-Québec en 2014.
Par la pratique de l’estampe, Marilyse Goulet porte un regard personnel sur les relations que les gens entretiennent avec la nourriture. Sa recherche artistique dresse un portrait visuel qui reflète les mœurs, les modes et les comportements d’une époque. Elle démontre que les rites et les idées culinaires sont un véritable reflet de la société, l’expression même d’une identité.
Marilyse Goulet vit et travaille dans les Laurentides. Elle est diplômée en arts visuels et en enseignement des arts plastiques de l’Université du Québec à Montréal. Active dans le milieu de l’art imprimé, elle est membre et vice-présidente de l’Atelier de l’Île, centre d’artiste autogéré spécialisé en estampe contemporaine situé à Val-David.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2017 dans le cadre du programme d’acquisition de la collection municipale et tirée de l’exposition Manger nomade; l’art de manger un peu partout, pour laquelle l’artiste a été récipiendaire du prix Excellence du Conseil de la culture des Laurentides en partenariat avec Télé-Québec en 2014.
Par la pratique de l’estampe, Marilyse Goulet porte un regard personnel sur les relations que les gens entretiennent avec la nourriture. Sa recherche artistique dresse un portrait visuel qui reflète les mœurs, les modes et les comportements d’une époque. Elle démontre que les rites et les idées culinaires sont un véritable reflet de la société, l’expression même d’une identité.
Marilyse Goulet vit et travaille dans les Laurentides. Elle est diplômée en arts visuels et en enseignement des arts plastiques de l’Université du Québec à Montréal. Active dans le milieu de l’art imprimé, elle est membre et vice-présidente de l’Atelier de l’Île, centre d’artiste autogéré spécialisé en estampe contemporaine situé à Val-David.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2023 dans le cadre du programme d’acquisition de la collection municipale.
Jasmin Guérard-Alie monte en 2022 l’exposition Réminiscence pour souligner les 15 ans d’une œuvre significative de sa carrière : la murale sur la Old Brewery Mission à Montréal. Signée par le collectif ArtduCommun, cette œuvre iconique marqua le début d’une vague locale de murales de grand format.
Avec l’exposition Réminiscence, le collectif ArtduCommun relève un immense défi : celui de replonger dans un univers déjà exploré, mais surtout, celui d’établir un pont entre l’art mural et la galerie. Délaissant les canevas géants, le collectif crée un jeu de proportions avec un corpus de tableaux à échelle humaine. S’envoler et les autres créations uniques de l’exposition sont vivantes, colorées, soigneusement exécutées et témoignent de la richesse culturelle de la murale. Leur saveur et leur impact est issu d’une riche expérience en termes de technique et de composition.
L’inspiration est imprévisible et surprenante.
Que ce soit pour la production de tableaux, d’illustrations ou de murales, l’approche créative pour la phase conceptuelle demeure un processus étrange à la fois organique et orchestré. L’artiste, en mode solo ou collectif, va prendre conscience de l’essence du lieu d’inspiration si cela s’y prête, pour s’imprégner de l’environnement, de l’architecture, de la nature, des gens, de la gastronomie, de l’atmosphère, de la lumière, etc. Mais également, s’immerger de références visuelles, plonger dans des conversations et se perdre dans des réflexions. Les thèmes découverts servent alors de trame narrative qui oriente le concept.
Né à Montréal, Jasmin est passionné par le dessin depuis qu'il est tout jeune, ce qui le mène à une formation en arts visuels et en illustration publicitaire. En tant qu'artiste peintre, illustrateur et muraliste, il adore mettre en images une panoplie d’idées, de concepts et de situations sans se limiter. Son style naturel et éclectique caractérise ses œuvres de manière distinctive depuis plus de 20 ans. Membre fondateur d’ArtduCommun, un collectif de peintres muralistes créé à Montréal en 2006, Jasmin Guérard-Alie réalise des œuvres d'art public majeures aux côtés de pionniers de la murale contemporaine. Avec Simon Bachand, acolyte de longue date, il explore le pont entre l’art mural et le milieu de la galerie, par la création d’expositions de tableaux. Son approche est en constante évolution.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2014 dans le cadre du programme d’acquisition de la collection municipale.
Le travail de Stéphanie Homier s’élabore autour d’une recherche de rivalité entre l’abstraction et la figuration. Elle tend à modifier la manière de percevoir et d’habiter l’image en insistant sur les rapports métaphoriques et subjectifs. Ses œuvres témoignent d’une symbiose d’éléments tirés de la nature organique, de l’anatomie et du design industriel. L’artiste compose avec les riches jeux de textures et de couleurs pour faire jaillir un lieu incertain. De plus, la réunification dans un espace flottant, qui aspire aux déplacements et à la mouvance, octroie une apparence éphémère et frêle aux œuvres.
Bachelière en arts visuels de l’Université du Québec à Montréal, depuis 2005 Stéphanie Homier se spécialise dans l’art d’impression, la peinture et la sculpture monumentale. Ses projets s’élaborent souvent en relation avec l’architecture. Elle compte à son actif plusieurs expositions individuelles et collectives, symposiums et participations à des événements artistiques, notamment dans les régions de Sainte-Thérèse, Laval et Montréal. Elle a obtenu plusieurs bourses et prix, notamment de la Fondation de soutien aux Arts de Laval (FSAL), de la Caisse Desjardins et de la Ville de Sainte-Thérèse.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2021 dans le cadre du programme d’acquisition de la collection municipale et réalisée lors d’une résidence artistique de recherche et de création en Islande.
Pour cette série intitulée Noblewoman, Anne-Julie Hynes pose un regard intimiste sur la muse qui figure dans chacune de ses œuvres, sa mère. Elle a voulu dépeindre sa beauté brute à travers le temps en s’attardant sur l’individualité et le mystère : beau, jeune et vivant. Chaque photo a été transformée par un collage numérique. Certains photomontages finaux ont fait l’objet de travail textile supplémentaire, par l’ajout de fils ou de laine, et par la perforation.
Anne-Julie Hynes est une artiste multidisciplinaire de Montréal. Son travail reflète une relation très forte avec le paysage et la nature. Elle travaille avec différents médiums tels que la peinture, la photographie, le collage et la sculpture.
Son talent lui a permis d'être choisie pour participer à différentes résidences d'art, de recherche et de création à travers le monde. Elle se considère désormais comme une artiste nomade, dont le travail est fortement influencé par le pays où elle installe son atelier.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2021 dans le cadre du programme d’acquisition de la collection municipale et réalisée lors d’une résidence artistique de recherche et de création en Islande.
Pour cette série intitulée Noblewoman, Anne-Julie Hynes pose un regard intimiste sur la muse qui figure dans chacune de ses œuvres, sa mère. Elle a voulu dépeindre sa beauté brute à travers le temps en s’attardant sur l’individualité et le mystère : beau, jeune et vivant. Chaque photo a été transformée par un collage numérique. Certains photomontages finaux ont fait l’objet de travail textile supplémentaire, par l’ajout de fils ou de laine, et par la perforation.
Anne-Julie Hynes est une artiste multidisciplinaire de Montréal. Son travail reflète une relation très forte avec le paysage et la nature. Elle travaille avec différents médiums tels que la peinture, la photographie, le collage et la sculpture.
Son talent lui a permis d'être choisie pour participer à différentes résidences d'art, de recherche et de création à travers le monde. Elle se considère désormais comme une artiste nomade, dont le travail est fortement influencé par le pays où elle installe son atelier.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2021 dans le cadre du programme d’acquisition de la collection municipale et réalisée lors d’une résidence artistique de recherche et de création en Islande.
Pour cette série intitulée Noblewoman, Anne-Julie Hynes pose un regard intimiste sur la muse qui figure dans chacune de ses œuvres, sa mère. Elle a voulu dépeindre sa beauté brute à travers le temps en s’attardant sur l’individualité et le mystère : beau, jeune et vivant. Chaque photo a été transformée par un collage numérique. Certains photomontages finaux ont fait l’objet de travail textile supplémentaire, par l’ajout de fils ou de laine, et par la perforation.
Anne-Julie Hynes est une artiste multidisciplinaire de Montréal. Son travail reflète une relation très forte avec le paysage et la nature. Elle travaille avec différents médiums tels que la peinture, la photographie, le collage et la sculpture.
Son talent lui a permis d'être choisie pour participer à différentes résidences d'art, de recherche et de création à travers le monde. Elle se considère désormais comme une artiste nomade, dont le travail est fortement influencé par le pays où elle installe son atelier.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2021 dans le cadre du programme d’acquisition de la collection municipale et réalisée lors d’une résidence artistique de recherche et de création en Islande.
Pour cette série intitulée Noblewoman, Anne-Julie Hynes pose un regard intimiste sur la muse qui figure dans chacune de ses œuvres, sa mère. Elle a voulu dépeindre sa beauté brute à travers le temps en s’attardant sur l’individualité et le mystère : beau, jeune et vivant. Chaque photo a été transformée par un collage numérique. Certains photomontages finaux ont fait l’objet de travail textile supplémentaire, par l’ajout de fils ou de laine, et par la perforation.
Anne-Julie Hynes est une artiste multidisciplinaire de Montréal. Son travail reflète une relation très forte avec le paysage et la nature. Elle travaille avec différents médiums tels que la peinture, la photographie, le collage et la sculpture.
Son talent lui a permis d'être choisie pour participer à différentes résidences d'art, de recherche et de création à travers le monde. Elle se considère désormais comme une artiste nomade, dont le travail est fortement influencé par le pays où elle installe son atelier.
Afin de souligner le 175e anniversaire de Sainte-Thérèse, la Ville a donné le mandat à l'artiste Maxime Lacourse de reproduire le site de la Place du marché.
Ses peintures, principalement peintes à l’huile et à l’encaustique sur panneaux de bois, nous touchent par leurs sujets : le monde onirique de l’enfance, entre le souvenir et le rêve, où la douceur des teintes et la lumière en clair-obscur traduisent des atmosphères particulières alliant un caractère à la fois familier et mystérieux. Ses œuvres, hors du temps, trouvent une parenté avec celles du surréalisme et de certains peintres du régionalisme américain.
Né à Sainte-Rose, Laval, Maxime Lacourse est dédié à la création artistique et à la peinture depuis plus de 30 ans. Il est boursier de la Fondation Elizabeth Greenshields du Canada et il a fait connaître ses œuvres tant au Québec, qu’à l’international. Il détient un baccalauréat en arts visuels de l’Université du Québec à Montréal.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2022 dans le cadre du programme d’acquisition de la collection municipale.
« Par son travail en installation, dessin et photographie, Marie-Josée Laframboise attire notre attention sur les univers relationnels qui tissent le monde, nous invitant de ce fait à en prendre conscience et à les percevoir différemment » (Beaulieu, Jean-Philippe. Les déclinaisons du réseau, Montréal : Présentation – Marie-Josée Laframboise).
En dialogue avec ses recherches sur l’appropriation spatiale et la mise en réseau de multiples matières, ses pratiques du dessin et de la photographie, toujours ancrées dans le questionnement sur l’espace, explorent et prolongent le concept du réseau. Particulièrement dans les dessins récents, dont le projet Gymnase, des éléments visuels issus d’un contexte industriel ou institutionnel sont intégrés à des compositions abstraites où des référents à la réalité cohabitent avec des figures géométriques. Ces diverses compositions abstraites relèvent directement de l’acte de tracer sur une surface et dans l’espace, des traits destinés à donner une représentation d’éléments en réseau.
Ses installations peuvent aussi être appréhendées d’un point de vue graphique, dans la mesure où elles relèvent directement de l’acte de tracer, sur une surface, des figures d’éléments en réseau, faisant parfois référence aux structures de systèmes mathématiques tels que les points d’inflexions et de rebroussement, le vecteur ou la courbe de Bézier. Le fil, le tube, le filet, les segments de cerceaux viennent emplir les lieux, tandis que les matières greffées aux parois de l’espace d’exposition – mur, plafond, colonne, poutre, sol – créent des parcours inhabituels, nous invitant à circuler à l’intérieur de structures ou, au contraire, à éviter certains lieux de passage préétablis.
Née à Québec, Marie-Josée Laframboise vit et travaille à Montréal. Titulaire d’un baccalauréat en arts plastiques (1987) de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), elle obtient en 2002 une maîtrise en arts visuels de l’Université Concordia. En 2000, au cours de ses études à la maîtrise, elle participe à un échange international à la Glasgow School of Art. Elle enseigne depuis 2006 au département d’arts visuels du Collège Lionel-Groulx. Ses œuvres ont été présentées en Allemagne, Autriche, Belgique, Canada, Écosse, France et Suisse lors d’expositions individuelles et collectives, de résidences ou de symposiums. On trouve ses œuvres au sein de collections privées et publiques importantes, dont la collection Prêt d’œuvres d’art du Musée national des beaux-arts du Québec, le Musée d’art de Joliette, la collection du Cirque du Soleil ainsi que celle de la Fondation Christoph Merian, en Suisse. De plus, ses projets ont bénéficié à maintes reprises du soutien du Conseil des arts du Canada et du Conseil des arts et des lettres du Québec.
Œuvre réalisée dans le cadre du Symposium de peinture de la relève en art actuel 2013, elle fut acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2014.
Rachelle Marcoux est la grande gagnante des éditions 2012 et 2013 du Symposium de peinture de la relève en art actuel de la Ville de Sainte-Thérèse. Elle a reçu le premier prix de la Caisse Desjardins Thérèse-De Blainville en 2013, pour Dieu ayde qui s’ayde! sous le thème « Sainte-Thérèse, lieu d’inspiration ». L’œuvre, qui met en vedette les armoiries de la Ville de Sainte-Thérèse, fut acquise par celle-ci l’année suivante.
Née à Montréal, Rachelle Marcoux a été résidente de Sainte-Thérèse et étudiante en arts plastiques au Collège Lionel-Groulx. En 2012, un de ses projets en art visuel lui vaut le prix Praxis, remis par Praxis Art Actuel, le centre d’artistes autogéré de Sainte-Thérèse. Cette installation artistique a été par la suite exposée au festival Art souterrain de Montréal, en 2013.
Gagnante de l’édition 2006 du Symposium de peinture de la relève en art actuel de la Ville de Sainte-Thérèse, cette œuvre a ensuite été acquise par la Ville. Pilier du développement de Sainte-Thérèse, l’usine des pianos Lesage a marqué la vie de bien des gens, dont les grands-parents de l’artiste qui y ont travaillé.
Dans son travail, chaque paysage, d’abord photographié, puis peint, dessiné, sculpté ou gravé, découle d’un site existant rencontré au cours de ses nombreuses pérégrinations. L’artiste s’intéresse aux lieux en transition qui passent souvent inaperçus, à leur histoire, mais surtout à ce qu’ils représentent, aux valeurs qu’ils véhiculent et à la façon dont ils sont perçus.
Née en 1981, Marie-Ève Martel vit et travaille à Blainville. Détentrice d’un baccalauréat en beaux-arts (spécialisation en peinture et en dessin) de l’Université Concordia (2006), elle a également suivi une formation en photogravure ainsi qu’en céramique. Elle a exposé à plusieurs reprises au Québec et a participé à deux résidences d’artistes en 2009. Elle a reçu plusieurs prix et bourses, dont la Bourse Elizabeth Greenshields à trois reprises et une Bourse de Type B de Recherche et Création du CALQ. Le travail de Martel fait partie de différentes collections d’œuvres d’art, dont la Collection de la Ville de Montréal, la Collection Loto-Québec et la Collection du gouvernement du Yukon.
Dans son travail, chaque paysage, d’abord photographié, puis peint, dessiné, sculpté ou gravé, découle d’un site existant rencontré au cours de ses nombreuses pérégrinations. L’artiste s’intéresse aux lieux en transition qui passent souvent inaperçus et à leur histoire, mais surtout à ce qu’ils représentent, aux valeurs qu’ils véhiculent et à la façon dont ils sont perçus.
Née en 1981, Marie-Ève Martel vit et travaille à Blainville. Détentrice d’une maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec à Montréal ainsi qu’un baccalauréat en beaux-arts (spécialisation en peinture et en dessin) de l’Université Concordia (2006), elle a également suivi une formation en photogravure et en céramique. Elle a exposé à plusieurs reprises au Québec et a participé à deux résidences d’artistes en 2009. Elle a reçu plusieurs prix et bourses, dont la Bourse Elizabeth Greenshields à trois reprises et une Bourse de Type B de Recherche et Création du CALQ. Le travail de Martel fait partie de différentes collections d’œuvres d’art, dont la Collection de la Ville de Montréal, la Collection Loto-Québec et la Collection du gouvernement du Yukon.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2014 dans le cadre du programme d’acquisition de la collection municipale.
Les œuvres de Claude Melançon sont de facture abstraite, spontanée, peu préméditée. Il laisse surgir ce qui doit s’exprimer. Il n’a pas d’interdit, en osant les mélanges de couleurs; en les laissant suggérer des humeurs, des ambiances. Il aime expérimenter les textures, jouer avec la transparence des couleurs et les contrastes entre le flou et le précis, entre la matière et l’empreinte. Au gré de ses expérimentations surgissent quelques fois des formes rappelant des formes figuratives. Dès lors, l’artiste vient exagérer la forme afin de rendre plus facilement visible ce qui, au premier coup d’œil, serait difficilement reconnaissable.
Claude Melançon aime créer, que ce soit des meubles, des sculptures, des objets de décoration et des peintures. À l’automne 2007, il commence à expérimenter la peinture en travaillant avec Tania Lebedeff, artiste peintre. Par la suite, il parfait ses connaissances auprès de différents artistes. Depuis 2010, il est actif dans le milieu; chaque année, il participe à un bon nombre de symposiums et d’événements en province. Il possède à son actif plusieurs expositions individuelles. En 2012, dans le cadre de l’événement Artiste au travail présenté à Blainville, il reçoit le deuxième prix du jury accompagné d’une bourse ainsi que du prix Bravo, pour son œuvre intitulée no 132.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2020 dans le cadre du programme d’acquisition de la collection municipale.
L’élément déclencheur dans ses créations est architectural, très porteur sur le plan sémantique et du point de vue de la représentation visuelle. Elle est interpellée par les êtres et les matières qui l’entourent, et particulièrement par leur fragilité et leur ténacité. Elle met ainsi souvent en contexte deux éléments, par des rapports contraires ou parallèles, paradoxes ou corrélations.
Geneviève Mercure est bachelière en arts plastiques de l’Université du Québec à Montréal et diplômée de l’École de sculpture de Saint-Jean-Port-Joli. Elle compte plusieurs expositions individuelles et collectives à travers le Québec. Elle investit régulièrement l’espace public, notamment en créant une œuvre d’art dans le cadre de l’intégration des arts à l’architecture à Prévost.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2016 dans le cadre du programme d’acquisition d’œuvres d’art de la collection municipale.
La recherche d’Ani Müller porte sur la fragmentation et la différence. Par l’effet d’un miroir brisé, elle déforme l’image et fait éclater la matière. C’est en faisant référence au temps qu’elle nous transporte dans un univers émotif. La combinaison d’images réelles et abstraites rappelle toute la complexité de la mémoire, des souvenirs et des pensées. À travers ses œuvres « imparfaites », Ani Müller parle de l’oubli, de l’erreur et du vécu.
Née à Montréal, Ani Müller habite et travaille à Repentigny. Artiste depuis l’enfance, elle choisit de faire ses études collégiales en arts plastiques au Cégep de Joliette pour ensuite compléter un baccalauréat en arts visuels à l’Université du Québec à Montréal en 2003. En plus des nombreuses expositions réalisées à travers le Québec et le Canada, Ani Müller a eu la chance de présenter plusieurs fois son travail en Allemagne et en France. En 2008, elle a obtenu la Médaille de l’Assemblée nationale du Québec.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2003 dans le cadre du programme d’acquisition de la collection municipale.
Suzie Nadeau peint à l’huile, à l’acrylique, au pastel et elle utilise aussi des techniques mixtes. Elle aime se laisser guider par son intuition pour créer des atmosphères et des ambiances chaleureuses, tel que présenté dans son œuvre Fleurs de fleurs.
Née à Montréal en 1958, Suzie Nadeau vit à Sainte-Thérèse depuis 1988. Dès son jeune âge, elle se passionne pour le dessin. Dès 1996, elle tente une approche avec la peinture à l’huile et le pastel. Elle étudie avec différents peintres et travaille à l’atelier de production de Samir Kachami. Suzie Nadeau étudie les arts plastiques à l’Université du Québec à Montréal et participe à de nombreux ateliers de modèles vivants. En 1999 et 2000, elle a été récipiendaire de certains prix lors de sa participation à Blainville-Art.
Elle s’intéresse aux marques du temps sur la matière et à notre rapport à cette matière. Elle s’intéresse à la nature et à l’espace qu’habitent les êtres et les choses, l’espace entre les êtres et l’espace intérieur de chacun. Les questionnements liés au contexte planétaire dans lequel nous évoluons demeurent en filigrane de son processus artistique. Dans cet espace de réflexion, elle met en avant ou questionne la nature éphémère de notre vie humaine, ses modes de réception-perception, le fragile équilibre entre la nature et le développement de nos sociétés contemporaines et notre résistance face aux changements, malgré notre grande capacité d’adaptation. Elle positionne des formes archétypales, silhouettes humaines dans des univers abstraits et ainsi, questionne le comment vivre ensemble : la communication, la collaboration, la solitude.
Sa pratique évolue entre une recherche picturale et une recherche sculpturale. Dans ce processus créatif, elle s’intéresse aux liens qui émergent dans le carrefour des paramètres propres à chacun des médiums.
Artiste et commissaire indépendante, Hélène Brunet Neumann s’implique dans plusieurs organismes culturels de la région des Laurentides. À travers son travail, elle participe à la réflexion sur l’interconnectivité entre les gens, ainsi qu’aux frontières des libertés individuelle et collective. Elle remet en question ainsi notre rapport au monde et notre engagement relationnel. Ces questionnements entrainent une réflexion sur les enjeux environnementaux et sociaux actuels. Détentrice d’un baccalauréat en arts visuels de l’université Visva Bharati, en Inde et d’une maîtrise en études des arts, Hélène Brunet Neumann a présenté ses œuvres dans plusieurs expositions au Canada.
Démarche artistique
Multipliant les médiums, l’artiste a développé au fil des années une facture à la limite de la figuration et de l’abstraction de laquelle se dégage une forte spiritualité. Ses portraits et paysages ont une forte tendance ésotérique.
Biographie de l’artiste
Né en 1948 à Montréal, d’un père abénaquis et d’une mère irlandaise, Yves-Joseph Nolet est reconnu pour ses œuvres consacrées au paysage et au monde des Premières Nations. Son travail est connu et apprécié à travers la planète et ses œuvres font partie de nombreuses collections publiques et privées, dont celles de trois grands musées canadiens et américains. Nolet a récolté de nombreuses distinctions et divers titres publics au fil du temps.
La Ville de Rosemère a fait don de cette œuvre à la Ville de Sainte-Thérèse en remerciement de son soutien lors de l’agrandissement de sa bibliothèque.
Ce qui caractérise les œuvres de Phelps est sans contredit ses couleurs vibrantes et leurs sujets floraux. Elle étudie continuellement et développe son style personnel : le « mouillé sur mouillé », dont l’œuvre acquise est un excellent exemple.
Audrey Joice Phelps est née à Montréal. Dès sa tendre enfance, elle démontre un grand talent artistique. Elle fait des études en art commercial, mais dans les années 1980, elle retourne à sa passion première : l’aquarelle. Elle développe peu à peu sa propre technique. Ses œuvres ont été intégrées à de nombreuses collections privées et publiques à travers le Canada, les États-Unis et l’Europe.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2007 dans le cadre du programme d’acquisition de la collection municipale.
Les voyages de l’artiste se reflètent beaucoup dans ses peintures. Il s’inspire des scènes de la vie quotidienne et d’actions banales. Ces scènes ou objets, pris séparément, peuvent à première vue paraître sans intérêt, mais une fois regroupés dans un même tableau, prennent un tout autre sens.
Natif de Montmagny, Yannick Picard vit et travaille à Sainte-Thérèse. Peintre, illustrateur et muraliste, il a déjà participé aux symposiums de peinture de Sainte-Thérèse et a reçu, en 2006, le 1er prix du Conseil de la culture des Laurentides dans le cadre du concours Jeunes artistes en arts visuels. Parmi ses nombreuses réalisations artistiques, notons son expérience exceptionnelle au symposium « Arte para todos » organisé par l’ONU en 2004, à Tegucigalpa au Honduras.
L’artiste explique que son œuvre image le principe de collectivité qui « comme le covoiturage, permet à différents groupes de personnes de se réunir et de se diriger vers un même lieu, une même direction, un but commun. » De sa perspective, l’enfant placé au volant montre que parfois, il serait dans notre intérêt de laisser les plus jeunes prendre les devants. De plus, différents thèmes liés à la culture tels que la musique, les arts visuels, le patrimoine, ainsi que le dynamisme de notre Village et l’influence des différentes générations se côtoyant à Sainte-Thérèse sont rassemblés au cœur de cette œuvre.
Peintre, illustrateur et muraliste, Yannick Picard a fait ses études en arts visuels, d'abord à Québec puis à l'Université du Québec à Montréal. Les nombreux voyages qu’il a faits influencent beaucoup ses œuvres. Il s’inspire également de scènes de la vie quotidienne, de gestes et d'actions banales.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2022 dans le cadre du programme d’acquisition de la collection municipale.
Cette œuvre fait partie de la série La rivière et elle est inspirée par la rivière aux Chiens. Par son travail, l’artiste fait référence à l’eau et à sa transparence. Cette œuvre sur papier Duralar laisse passer la lumière à travers les couleurs et les textures, comme une eau de rivière limpide.
Louise Piché vit et travaille à Sainte-Thérèse. Après une formation en arts visuels et en histoire de l’art à l’Université de Montréal, elle poursuit son travail en atelier autour des techniques d’estampe. Elle fait un court stage sur la technique de monotype à l’Atelier Graff à Montréal. En 2019, elle a participé à une résidence d’artiste à Buenos Aires en Argentine. Ses œuvres ont été sélectionnées pour la Biennale Internationale d’estampes à Tapei (Taïwan), à la Triennale Internationale d’art à Lublin (Pologne), à l’Exposition Internationale d’estampe numérique miniature XI (Ottawa), ainsi qu’à la Trestle Gallery à Brooklyn (New York). Ses estampes font partie de l’ouvrage de référence L’estampe originale au Québec, 1980-1990.
L’interprétation du paysage comme vecteur d’expérience est au cœur de sa pratique en photo, vidéo, installation et art interactif. Il s’interroge sur le rapport ambigu que nous entretenons avec la vitesse et les technologies autant que sur les rapports sensibles et cognitifs qui se tissent entre notre corps et le paysage. La ligne d’horizon réelle ou fictive, fixe, vibrante ou défilante est un sujet récurrent dans sa démarche. Déterminante dans la composition du cadre photographique, elle renvoie métaphoriquement à cette idée d’une destination inaccessible comme à celle d’un futur incertain.
Bertrand R. Pitt vit et travaille à Montréal. Ses œuvres ont été présentées dans plus d’une vingtaine d’expositions individuelles, dont les centres et galeries (B-312, Occurence, CIRCA, Plein sud, La chambre blanche, Gallery 44 (Toronto), Emmedia (Calgary), Truck Gallery (Calgary), Eye Level Gallery (Halifax), la Galerie de l’UQAC et les Maisons de la culture du Plateau) et dans diverses expositions collectives, projections et résidences au Québec, au Canada, au Brésil, en France et en Suisse. En 2016, son installation Le bruit des yeux faisait partie de l’exposition d’ouverture du nouveau pavillon du Musée national des beaux-arts du Québec retraçant 40 ans de pratique installative au Québec. Son travail a été soutenu à plusieurs occasions par le Conseil des arts et des lettres du Québec et le Conseil des arts du Canada et fait partie des collections du Musée national des beaux-arts du Québec et de collections privées. Détenteur d’une maîtrise en arts visuels de l’Université du Québec à Montréal, il enseigne au département d’arts visuels du Collège Lionel-Groulx.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2021 dans le cadre du programme d’acquisition de la collection municipale.
Dès son jeune âge, elle crée des vêtements pour ensuite se consacrer aux arts visuels. Devenue artiste-peintre professionnelle, elle adopte une gestuelle spontanée comme technique où la superposition de couches (formes, lignes, couleurs, textures, matériaux et coulures) rend la création constructive. Pour Nicole Proulx, le jeu de composition se niche dans une logique reflétant ses préoccupations face à la société, donnant naissance à des œuvres au symbolisme présent.
Artiste dans l’âme, Nicole Proulx transcende son art par ses origines abénaquis qu’elle hérite de sa mère. Amérindienne de deuxième génération et née à Lachine, c’est à Sainte-Thérèse qu’elle s’établit. Grâce à l’eau et au colorant des pigments d’aquarelle ou d’acrylique, elle réussit à former texture, profondeur, fluidité et mouvement, où la liberté est à l’honneur. Sa palette de couleurs vibrantes, qu’elle magnifie par des applications contemporaines du pigment, s’inspire directement de ses origines. Nicole Proulx exprime ses réflexions profondes du monde qui l’entoure par des gestes libres aux interprétations modernes qui oscillent entre l’abstraction et le semi-figuratif.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2021 dans le cadre du programme d’acquisition de la collection municipale.
Dès son jeune âge, elle crée des vêtements pour ensuite se consacrer aux arts visuels. Devenue artiste-peintre professionnelle, elle adopte une gestuelle spontanée comme technique où la superposition de couches (formes, lignes, couleurs, textures, matériaux et coulures) rend la création constructive. Pour Nicole Proulx, le jeu de composition se niche dans une logique reflétant ses préoccupations face à la société, donnant naissance à des œuvres au symbolisme présent.
Artiste dans l’âme, Nicole Proulx transcende son art par ses origines abénaquis qu’elle hérite de sa mère. Amérindienne de deuxième génération et née à Lachine, c’est à Sainte-Thérèse qu’elle s’établit. Grâce à l’eau et au colorant des pigments d’aquarelle ou d’acrylique, elle réussit à former texture, profondeur, fluidité et mouvement, où la liberté est à l’honneur. Sa palette de couleurs vibrantes, qu’elle magnifie par des applications contemporaines du pigment, s’inspire directement de ses origines. Nicole Proulx exprime ses réflexions profondes du monde qui l’entoure par des gestes libres aux interprétations modernes qui oscillent entre l’abstraction et le semi-figuratif.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2006 dans le cadre du programme d’acquisition de la collection municipale.
L’artiste a développé un langage pictural qui est la suite logique de toutes ses années d’expérience dans le domaine pharmaceutique. Elle demeure fidèle à son sujet : le corps humain. Ses recherches iconographiques et formelles ont donné naissance à des personnages nus auxquels elle a ajouté des parures extérieures. Ils nous ressemblent, ils évoquent notre être et nous amènent à voir non seulement le contenant, mais aussi le contenu. En s’appropriant son sujet, elle dévoile des parties de l’anatomie et rend visible l’intérieur du corps humain tout en permettant sa démystification.
En 1986, Guylaine Renière fonde sa compagnie d’illustration. Elle conçoit et réalise alors des illustrations médicales pour plusieurs compagnies pharmaceutiques du Canada. Depuis une dizaine d’années, cette artiste de Mirabel produit des peintures et de petites installations, dont certaines font partie de collections publiques et privées. Guylaine Renière cumule les prix et les mentions depuis plusieurs années. Sa production artistique très personnalisée est empreinte d’humour et de symbolique. Ses tableaux explosifs et séduisants rendent hommage à la femme et à son univers.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2005 dans le cadre du programme d’acquisition de la collection municipale.
Peintre autodidacte, elle crée particulièrement des paysages de style figuratif. Elle peint de façon particulière et personnelle, juxtaposant lumière et obscurité, créant ainsi de forts contrastes. Elle travaille la transparence par des superpositions de couleurs et utilise parfois plusieurs médiums. Elle aime sortir des sentiers battus par une étude approfondie du sujet sur lequel elle travaille. Pour elle, c’est là que se jouent la passion, la musique, la poésie et la magie.
Native de Saint-Elzéar de Beauce, Madone Simard vit et travaille à Rosemère. Elle anime des cours d’aquarelle et de croquis, puis donne des ateliers de stimulation artistique depuis 1996. Elle agit aussi à titre de jurée lors de différents concours et expositions ainsi que pour l’évaluation de dossiers de futurs membres d’organismes. Elle a été présidente du comité socioculturel de Rosemère de 1992 à 2006 et est la fondatrice du Regroupement des artistes de Rosemère, dont elle a été aussi présidente de 1994 à 1999. C’est aussi à cette artiste que l’on doit la création du Symposium de peinture et de poésie de Rosemère, créé en 2000.
Cette œuvre a été offerte par l’artiste lors de son passage à la Ville de Sainte-Thérèse en 2023 dans le cadre de la création de la murale Tous ensemble à l’arrière du bâtiment situé au 34, rue Blainville Ouest.Œuvre remise à la Ville de Sainte-Thérèse par le Conseil de la culture des Laurentides à titre de prix Municipalité, dans le cadre des 23e Grands prix de la culture des Laurentides en 2012.
Cette illustration fait référence à l 'Exposition Immersive « Où est Shaby » dans le Musée des Tissus avec le festival Airt de famille. L’idée était de rendre hommage à la célèbre bande-dessinée « Où est Charlie? » en représentant une accumulation de personnages (147) pour que le spectateur petit ou grand puisse se fondre dans ce paysage bien particulier."
Né à Annecy en 1996, Charly Collomb Aka Shab dessine depuis son enfance. En argot, chab veut dire « regarde ».
Inspiré par la culture hip hop, Shab débute en pratiquant le breakdance et le parkour et se trouve finalement une véritable appartenance pour le mouvement du graffiti et de l’art urbain. Natif de Haute-Savoie, c’est en arrivant à Lyon pour ses études qu’il commence à peindre sur les murs de la ville et sur toiles. À travers ses oeuvres, il s’intéresse à différents mouvements tels que la figuration libre à l’art naÏf comme à l’illustration de presse, ses inspirations sont pluridisciplinaires.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2020 dans le cadre du programme d’acquisition de la collection municipale.
Jacqueline Tourigny se questionne sur les rapports entre solide et éphémère, la transformation de la matière, l’impact du temps et les traces qu’il laisse. Elle propose de participer au cycle de la nature, sous la devise « Rien ne se perd, tout se transforme et se crée ». Elle fait un rapprochement avec la matière, mais aussi avec le monde qui nous entoure. Dans cette œuvre, elle fait référence à la nature, à sa préservation, au passage du temps dans un environnement en perpétuelle transformation. Les racines expriment notre interrelation ainsi que notre lien à la terre et à la nature.
Née à Ottawa, Jacqueline Tourigny vit maintenant dans les Laurentides. Elle s’intéresse très tôt à l’art, explorant différents médiums. Fille de musicien, elle étudie le piano au Conservatoire royal de musique de Toronto. C’est au cours de ses études universitaires qu’elle découvre sa passion pour la gravure. Après avoir complété un baccalauréat en arts plastiques à l’Université du Québec à Montréal, elle décide de nourrir une autre passion, soit celle de l’écriture. Elle est détentrice d’un certificat universitaire en création littéraire et est maintenant artiste multidisciplinaire.
Œuvre acquise par la Ville de Sainte-Thérèse en 2020 dans le cadre du programme d’acquisition de la collection municipale.
Sa démarche artistique s’appuie sur le concept du yin et du yang, cette notion de complémentarité que l’on retrouve dans tous les aspects de la vie et qu’il applique dans l’interaction des couleurs pour donner vie à ses tableaux. Dans cette œuvre, l’artiste invite le regard à se poser par-dessus l’épaule de ces vieux sages, à leur suggérer le pion à jouer. Un instant volé, témoin de notre époque, qui unit cobalt, céruléen, outremer, sur un discret fond orangé.
Claude Tousignant est né à Montréal en 1960. Artiste peintre, le dessin a été sa passion première, ce qui caractérise bien son processus de création artistique. Après des études en graphisme, il travaille de nombreuses années dans le domaine de l’imprimerie et participe à la réalisation de livres d’art tant pour des musées que pour de nouveaux artistes qu’il se plait à découvrir. Il touche en dilettante à plusieurs médiums tels que les pastels, l’huile, les crayons, la sculpture, mais privilégie la peinture acrylique pour ses nombreuses possibilités créatrices.
Œuvre offerte par la Ville d’Annecy afin de souligner le 30e anniversaire du pacte d’amitié qui unit Annecy et Sainte-Thérèse. Elle a été intégrée à la collection municipale d’œuvres d’art de Sainte-Thérèse en 2017.
Au cours des 20 dernières années, il a acquis une expérience plurielle, parfois improbable et inattendue, mais toujours féconde et constructive… Expérience humaine d’abord, fondée sur l’écoute et le dialogue avec les publics des plus variés : chefs d’entreprises, médiateurs culturels, élus, responsables administratifs, techniciens de la chaîne graphique, il a conduit et géré une multitude de projets, de leur conception à leur mise en œuvre. Expérience créative, naturellement, il a abordé au fil des années la création sous tous ses aspects, à travers une palette de réalisations multiples et originales. Expérience technique solide, il a une connaissance intime du métier et de ses subtilités.
Minh Tran est un artiste indépendant, né au Viêtnam. Diplômé en arts graphiques et design de l’Université de Montréal, il a vécu au Québec pendant 8 ans. Il vit aujourd’hui à Annecy, en France. Minh Tran insuffle une mélodie picturale loin des spéculations passagères, dans l’espoir intime que son art réconcilie.